"Le Mur du (ç)on comme dirait Le Canard Enchaîné"
Franchi avec allégresse, une fois de plus ; de sa rhétorique antidéluvienne pesante, par le dinosaure du syndicalisme scolaire, le dénommé Gérard Aschiéri. Chaque fois que oncque dans notre beau pays de Frnce s'essaie à émettre une idée pour améliorer l'état lamentable de notre cher Mamouth, le voilà qui déboule de son pas lourd pour asséner son crédo :
Dépenser toujours plus pour l'éducation des nos chers bambins alors que tout simplement proposer de dépenser mieux n'est pas d'actualité mais alors ce serait reconnaitre les carences du syndicalisme scolaire.
Se plaindre hypocritement que seul les jeunes enseignants soient envoyeé dans les zones sensibles, alors que l'on fait semblant d'ignorer que les anciens (majoritairement syndiqués ; pas folles les guépes ; mais c'est leur droit) font jouer la préférence syndicale pour éviter d'aller dans les chaudrons.
vanter sans faiblir ni accepter de contestation sur la désuète carte scolaire alors que tous savent que les premiers pourfendeurs de ce système sont les enseignants eux même qui ; honni soit qui mal y pense ; font en sorte de diriger leur progéniture vers les établissements les plus côtés.
Dans sa très louable volonté de réconciliation nationale au lendemain de la guerre, De Gaulle commit une erreur majeure ; bien que suspectant leur affidation aux soviets ; il leur confiat quelques ministères soi-disant non majeurs ( Education Nationale, Energie, Transports, Fonction Publique) évidement, fidèles à leur engagement nos chers communistes en profitérent pour noyauter ces administrations. Comment s'étonner alors, à ce jour, la difficulté à faire évoluer la pensée syndicale engoncée dans son conservatisme le plus négatif avec la complicité des élites socialistes ardents défenseurs du toujours plus de gaspillage, les générations futures paieront.
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